Certaines personnes, pour ne pas nommer Cécile Gladel, journaliste écolo que je respecte, ne sont pas d’accord avec ma prise de position contre les poules en milieu urbain.
Voici mon point… Si on permet les poules en ville, pas beaucoup 5 ou 6 petites poules, qui donnent 5 ou 6 oeufs par jour… On va perdre totalement le contrôle. Tout le monde sait que lorsqu’on donne un pouce, certaines personnes prennent un pied. Personnellement, me faire réveiller par un coq aux aurores parce que mon voisin le fermier urbain a décidé qu’il ne voulait pas payer pour ses poules et s’approvisionner en fertilisant ses poules par un beau mâle… NON!
Un autre point… Même si les poulets sont assez sédentaires, ça vole ces bibittes là! Pas beaucoup mais imaginez si l’un d’entre elles veut jouer à « Les poulets en fuite »!!! et se retrouve d’arbres en arbres, sur une artère importante… Un accident à cause d’une poule en ville… NON
Un dernier point… Le comble de la perte de contrôle… Que d’autres animaux s’ajoutent à la basse-cour de mon voisin le fermier urbain. Un cochon pour son bacon dominical, une chèvre pour couper le gazon, et quelques mini holstein pour du bon lait frais et ce dans une cour arrière du quartier Rosemont, soit un gros 60 mètres carrés… NON!
On a de la misère à contrôler l’herbe à poux et les ratons laveurs enragés… Est-ce qu’on peut commencer par enseigner le respect et la responsabilité sociale aux citoyens des villes avant de permettre ce genre d’absurdité en ville?
Mon voisin veut jouer au fermier, ya plein de beaux coins en campagne et en plus… le loyer est la moitié de celui de la ville… Quand on choisi de vivre en ville, on choisi d’acheter ses oeufs à l’épicerie.