Dans un article du Los Angeles Times aujourd’hui, on parle de la recrudescence des gens qui retournent aux sources… et se construisent des poulaillers en pleine ville.
C’est une nouvelle tendance dans certaines villes des États-Unis, notamment à Madison, Wisconsin. Un truc pour vaincre la crise économique certains diront… car les oeufs, un aliment plein de protéines est donné chaque jour par ces bipèdes… gratuit? vraiment? Une douzaine d’oeufs coûte 2$ à l’épicerie… et il faut les nourir ces bêtes là! Impossible de partir en vacances sans une gardienne pour les poulets…
Je n’ai rien contre le retour aux sources ou la simplicité volontaire en temps de crise économique… mais celle là est un peu exagérée. Et imaginez si une de ces brillantes familles se retrouvaient avec des poulets grippés… N’est-ce pas le vecteur parfait pour la prochaine pandémie? Est-ce qu’on est obligé de tenter le diable de l’épidémie qui nous pend déjà sous le nez?
Des poulets dans votre cour arrière… non SVP!
Ah non la je suis pas d’accord avec toi. On ne parle pas d’un gros poulailler industriel mais de quelques poules pour consommation perso. Et puis franchement ce n’est pas quelques poules qui vont transmettre des maladies. J’ai été élevée avec des poules…
On limite bien les chiens et les chats, pourquoi pas les poules en quantité limitée. Pis moi je veux aussi une chèvre pour tondre le gazon 🙂
Je devais en parler à Christiane Charette mais finalement on a laissé tomber…..Mais je vais écrire un billet la dessus….J’ai trouvé un article dans la revue de L.A. À suivre. Je retourne à mon dead-line….