En redescendant les montagnes de San Jacinto, on retrouve rapidement le paysage désertique. Les montagnes rocheuses, les arbustes de thym et de romarin… et l’immensité à perte de vue.
Quelques personnes habitent sur la route entre Idyllwild et Palm Springs, mais si peu que les services postaux regroupent les boîtes aux lettres pour éviter de se retrouver dans le milieu de nul part chaque jour.
En arrivant à Palm Springs, juste avant de descendre la dernière colline, la vue est époustouflante. La petite route descend en zig-zig dans le désert comme un ruban noir au milieu d’un gâteau beige. Au loin, on aperçoit l’oasis de Palm Springs et ses quelques 150 terrains de golf.
Mais dans toute cette immensité, qui semble magnifique, se retrouve l’habitat préféré… des serpents à sonnette. Charles aimerait bien en voir un et le photographier, mais j’avoue que je n’y tiens pas plus qu’il le faut 😉