Ça fait déjà un mois que nous sommes ici à Shenzhen. Le temps passe extrêmement vite même si des fois on a quelques journées qui nous rappelent qu’on est loin de la maison!
La routine s’installe. J’ai trouvé des choses à faire tous les jours, donc ça m’occupe et me permet de rencontrer des gens. Le lundi matin, je vais prendre un café avec un club d’expatriées (majoritairement des femmes d’expatriés). Lundi après-midi, j’enseigne l’anglais au restaurant. Mardi matin j’ai mon cours de mandarin, mardi après-midi je vais à l’orphelinat. Mercredi midi, je vais diner avec des copines et on finit toujours par aller prendre un café après et passer l’après-midi ensemble! Jeudi après-midi j’enseigne l’anglais au restaurant et vendredi après-midi j’ai mon cours de mandarin. Ouf! Finalement, j’ai vraiment pas le temps de m’ennuyer! Tout ça c’est sans compter les articles que j’écris. D’ailleurs, un premier sera publié mardi prochain dans le Quartier Libre, journal des étudiants de l’Université de Montréal. www.quartierlibre.ca J’écrirai une chronique sur la Chine toutes les parutions à partir de maintenant, soit toutes les deux semaines.
Demain, je me rendrai à Guiyu pour écrire un article assez percutant qui sera publié dans Jobboom. Mais je laisse le sujet en suspend par respect pour ceux qui ont acheté mon article! À vous de lire Jobboom en décembre ou janvier!
De ce côté, la journaliste en moi fait des découvertes tous les jours. J’amasse l’information et j’espère pouvoir rendre cette information utile un jour… Plusieurs publications ont accepté des sujets. Je dois travailler fort pour obtenir l’information puisque la barrière de la langue et de la culture rend la chose un peu plus difficile.
Mon professeur de mandarin a accepté de m’aider dans mes articles lorsque j’aurai besoin d’un interprète. D’ailleurs, elle viendra avec moi demain à Guiyu. J’apprécie beaucoup son aide puisque ce n’est pas très facile de trouver quelqu’un de confiance ici. Beaucoup de Chinois croient qu’il est facile pour nous de leur donner beaucoup d’argent pour ce genre de travail. Or, en tant que pigiste, ce n’est pas le cas!