Voler avec First Air

** Lorsque j’ai voyagé avec First Air, j’ai payé mon billet comme tout le monde. Les gens de First Air n’étaient pas au courant de ma venue à bord d’un de leurs appareils, ni que j’allais écrire quelque chose sur mon blogue à propos de ce voyage. **

C’est la classe! J’ai pris l’avion assez souvent dans ma vie et je dois avouer que j’ai été impressionné par le service chez First Air, compagnie aérienne qui appartient à la Société Makivik depuis 1990, propriété à part entière des 9000 Inuit du Nord québécois.

C’est sûr que plusieurs diront que les coûts sont exorbitants… Mais considérant le kilométrage à parcourir, la formation des gens qui travaillent pour First Air dont plus du tiers habitent dans le Nord, les suppléments de bagages acceptés, c’est quand même pas si mal lorsqu’on arrive à réserver ses billets lors des ventes. Il y a aussi des tarifs spéciaux selon certaines catégories d’âge.

Repas chaud inclus en partance de Montréal : déjeuner pour le vol Montréal-Kuujjuaq, dîner pour le vol Kuujjjuaq-Montréal. Journaux français et anglais de la métropole et l’excellent journal du Nord, NunatsiaqNews, publié une fois par semaine, mais dont le site web est une plateforme alimentée quotidiennement. Et au retour, gâtez-vous avec le café spécial…

Pour une expérience complète, demandez le café spécial en revenant… Un petit remontant, parfois nécessaire avant de faire face aux bruits de la ville après un séjour de plénitude au Nord!

Dernier conseil avant de vous envoler avec First Air vers le Nord : prenez le hublot! L’immensité et la splendeur du Nord m’ont inspiré ce court texte, gribouillé sur une serviette de table… Juste pour vous donner un aperçu de ce qui vous attend!

Le Nord-du-Québec du haut des airs 
C’est ici que « la planète bleue » revêt tout son sens. Du haut de l’avion en route vers le Nunavik, le spectacle est majestueux. Un dédale de rivières, lacs, et espaces nautiques offrent un paysage digne d’une autre planète! La seule possibilité de voir ce spectacle de près : l’hydravion. Aucune route ne se rend dans ce labyrinthe de cours d’eau où il faut faire parfois plusieurs centaines de mètres avant de trouver un chemin sec.. Et pourtant ce fut le territoire privilégié de chasse pour de nombreux autochtones avant l’arrivée des Européens.

Le Nord-du-Québec du haut des airs.
Le Nord-du-Québec du haut des airs.
Le Nord-du-Québec du haut des airs.
Le Nord-du-Québec du haut des airs.
Arrivée à bon port, l’air est si pur, si frais. Sourire garanti après quelques secondes!

Publié par Mariève Paradis

Fille de mots, passionnée de plein air et mère de 2 tannants

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